Entre la quête de ce que je suis et celle de ce que tu es, l'amour existe. Je suis cette quête et tu es la nôtre. Sans cette dimension de l'interrogation, il n'y aurait pas d'amour mais seulement quelque chose qui tiendrait d'un discours par avance trop bien fait.
Nous sommes cette recherche qui fonde le désir du monde et de l'autre, entre l'altérité et la possibilité du vivre ensemble. Nous sommes cela, et à chaque fois qu'on l'oublie, l'on s'éteint un peu plus aux autres et à soi même.
L'acceptation de notre éternelle interrogation nous apaise et nous fait connaitre le chemin des incertitudes.
C'est sur celui-ci que j'avance et que je rencontre la naissance de ce qui doit être, toi, les autres, et l'amour.
dimanche 27 juin 2010
mardi 15 juin 2010
L'image que l'on a de soi se heurte au monde, pareille à une boule de billard dans une blague cosmique. Un dialogue incessant nait de la rencontre entre ce que l'on croit savoir de nous-même, et cette vérité qui se dénude sur notre route.
Si nous croyons sans savoir, nous savons quand il n'y a plus rien a croire, quand la connaissance n'est plus création de l'esprit mais découverte de l'incontournable. Et nous pouvons alors nous reposer, en ce matin d'évidences nues, et avec nos yeux aveugles, nous ne voyons plus qu'avec notre cœur.
Si nous croyons sans savoir, nous savons quand il n'y a plus rien a croire, quand la connaissance n'est plus création de l'esprit mais découverte de l'incontournable. Et nous pouvons alors nous reposer, en ce matin d'évidences nues, et avec nos yeux aveugles, nous ne voyons plus qu'avec notre cœur.
Paroles et chant: Walid STEFANESCO Musique:Virgine PEYRAL Enregistré SACEM
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Ce que je te dirais parlera du goût de tes larmes au sel magique du cri de tes peurs au fin fond de ton bonheur La confusion est le seul ...
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La solitude, c'est la main qui tient les joyaux de ta richesse intérieure. Que sais-je de tes luttes, de tes combats, de tes victoires...
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Chaque vers est la sortie de mes labyrinthes