Quelque part en toi, la douceur de vivre traîne et t’attends. Cela s’appelle la joie, celle qui te rend si simple et tendre à la fois.
Cela tombe en rayons de soleil sur la noirceur des jours anciens, cela réveille notre capacité à voir au-delà des apparences du quotidien, cela déshabille le corps ému des choses, cela est l'harmonie soudaine des chemins chaotiques, cela s’illumine, cela c’est toi aussi.
mardi 31 août 2010
vendredi 27 août 2010
Sous la pauvre lumière de ce que je suis, je me trimbale en emportant dans ma poche le monde tel que je le perçois.
Nous ne nous rencontrons toujours qu’au détour de ce que nous sommes. Je ne connais pas la lumière de ta vie, où es-tu quand tu es là, que dis-tu quand je t’entends, que fais-tu quand je te regarde.
Aussi je te veux, pour tenir dans mes bras ce qui m’échappe dans l'incompréhension d’être en face de toi, sans plus rien dans mes poches, puisque que tu tiens la clé de l’univers de ceux qui ne s’appartiennent plus.
Nous ne nous rencontrons toujours qu’au détour de ce que nous sommes. Je ne connais pas la lumière de ta vie, où es-tu quand tu es là, que dis-tu quand je t’entends, que fais-tu quand je te regarde.
Aussi je te veux, pour tenir dans mes bras ce qui m’échappe dans l'incompréhension d’être en face de toi, sans plus rien dans mes poches, puisque que tu tiens la clé de l’univers de ceux qui ne s’appartiennent plus.
lundi 23 août 2010
Seuls les anges ne sont pas différents de ce qu’ils voudraient être
Puisque mes erreurs font aussi ma vie d’homme
prends ma vie avec ce que je suis
embrasse mes peurs et mes solitudes
et jette aux orties tes rêves de ce que je ne suis pas
Puisque ce que tu veux être obscurcis le ciel de ton cœur
ce que tu crois être bien chez toi je t’en déshabille
car seule ta nudité est ta présence sur terre
et je ne veux rien d’autre qui ne me suffise
Dans la pénombre de nos abandons la lumière est en nous
offre-moi ta confusion, que j’entende le cri de tes questionnements
ne cherche plus ailleurs ce qui est déjà entre nous
le temps d’un moment où nous sommes tout simplement.
Puisque mes erreurs font aussi ma vie d’homme
prends ma vie avec ce que je suis
embrasse mes peurs et mes solitudes
et jette aux orties tes rêves de ce que je ne suis pas
Puisque ce que tu veux être obscurcis le ciel de ton cœur
ce que tu crois être bien chez toi je t’en déshabille
car seule ta nudité est ta présence sur terre
et je ne veux rien d’autre qui ne me suffise
Dans la pénombre de nos abandons la lumière est en nous
offre-moi ta confusion, que j’entende le cri de tes questionnements
ne cherche plus ailleurs ce qui est déjà entre nous
le temps d’un moment où nous sommes tout simplement.
Paroles et chant: Walid STEFANESCO Musique:Virgine PEYRAL Enregistré SACEM
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Ce que je te dirais parlera du goût de tes larmes au sel magique du cri de tes peurs au fin fond de ton bonheur La confusion est le seul ...
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La solitude, c'est la main qui tient les joyaux de ta richesse intérieure. Que sais-je de tes luttes, de tes combats, de tes victoires...
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Chaque vers est la sortie de mes labyrinthes