Ta présence
hante
tout les possibles
dans l'air vibrant
des renoncements
incertains
à ce quelque chose
que tu inspires
malgré nous
qui savons
les remous
anciens
quand ils viennent agiter
notre expérience
du futur
qui nous unit
ou nous déchire
avant d'avoir vécu
jeudi 17 novembre 2011
samedi 12 novembre 2011
Ce flou qui se jette à ta figure
un jour de petit déjeuner
Cette encre noire
qui te rendais invincible
Ce vide que tu caches
sous la pudeur de ton quotidien
La couleur de ton enfance
qui éclaboussait la terre entière
Ce ralenti extrême
d'un désir d'autre chose
Cette certitude impudique
qui t'allait comme un gant
Ce cri que tu ne dis pas
dans ces mots que tu me murmures
Ces éclaboussures d'antan
qui te faisaient danser encore
Cette froide réalité
qui te prends à la petite cuillère
Ce poids des autres
qui intriguait ce que tu savais
Cette volonté d'être
pour te trouver un second souffle
Ces habits de lumière
qui soudain ne t'éclairaient plus...
Ce répit annoncé
au gout incertain
Ces pleurs de joie
au fond de tes tiroirs
Ce retour en ressac
des désirs d'avenir
La douce amertume
de tes couples explosés...
Cette salle d'attente
où tes vies se réunissent
Cet endroit carrefour
aussi fort que l'amour
Cette étreinte invisible
au cœur des choses
Cette musique inaudible
qui bouleverse ta vie
Cette vague de toi
sur le sable absolu
Cette explosion des fois
au creux d'un big bang inconnu
Ce reste de caresses
qui parle de ne plus rien dire
Ce silence partagé
d'une solitude oubliée
un jour de petit déjeuner
Cette encre noire
qui te rendais invincible
Ce vide que tu caches
sous la pudeur de ton quotidien
La couleur de ton enfance
qui éclaboussait la terre entière
Ce ralenti extrême
d'un désir d'autre chose
Cette certitude impudique
qui t'allait comme un gant
Ce cri que tu ne dis pas
dans ces mots que tu me murmures
Ces éclaboussures d'antan
qui te faisaient danser encore
Cette froide réalité
qui te prends à la petite cuillère
Ce poids des autres
qui intriguait ce que tu savais
Cette volonté d'être
pour te trouver un second souffle
Ces habits de lumière
qui soudain ne t'éclairaient plus...
Ce répit annoncé
au gout incertain
Ces pleurs de joie
au fond de tes tiroirs
Ce retour en ressac
des désirs d'avenir
La douce amertume
de tes couples explosés...
Cette salle d'attente
où tes vies se réunissent
Cet endroit carrefour
aussi fort que l'amour
Cette étreinte invisible
au cœur des choses
Cette musique inaudible
qui bouleverse ta vie
Cette vague de toi
sur le sable absolu
Cette explosion des fois
au creux d'un big bang inconnu
Ce reste de caresses
qui parle de ne plus rien dire
Ce silence partagé
d'une solitude oubliée
Paroles et chant: Walid STEFANESCO Musique:Virgine PEYRAL Enregistré SACEM
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Ce que je te dirais parlera du goût de tes larmes au sel magique du cri de tes peurs au fin fond de ton bonheur La confusion est le seul ...
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La solitude, c'est la main qui tient les joyaux de ta richesse intérieure. Que sais-je de tes luttes, de tes combats, de tes victoires...
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Chaque vers est la sortie de mes labyrinthes