Je t’offre ce bouquet
à l’ombre de mes doutes
où tu te dénudes
jusqu’à l’épuisement de mes faux-semblants
Je t’offre ce slow intense
des corps retrouvés
à l’aune des certitudes ébréchées
sur l’autel de nos rêves apprivoisés
Je t’offre ce strip-tease
du quotidien
en forme de mélodies
jetées sur nos plaies fatiguées
Je t’offre ce que je ne sais plus faire
pour apprendre tout le reste
Quelque part en nous
quelque chose qui t’émerveille