Chaque vers est la sortie de mes labyrinthes
vendredi 21 juin 2013
Les déchirements qui viendront
ne sont que des caresses
sur nos souvenirs à construire
Rien ne te vaut
sur l’autel
de nos vies à prendre
Les prémices sont les miroirs
de ce qui nous attend
Tout est déjà là
dans ce frémissement des impossibles
venus gémir avec nous
cette envie d’aimer
Ta solitude est la mienne
dans ce que tu devines de moi
Ta nudité est la mienne
devant l’immensité qui nous reste
Ta fragilité est la mienne
devant notre force inconnue
Ta découverte de soi est la mienne aussi
quand tu annonces ce que nous sommes
par ta seule présence
au cœur des choses
au cœur de toi
de ce qui nous manque et nous éclaire
Seule la douceur épargne l’amour qui passe
Aimer c’est inventer ce que je sais de mieux
La tendresse est le langage de ceux qui savent
Alors
Donne-moi la beauté de ceux qui s’aiment
L’apaisement royal d’un gueux qui règne
Le creux de ton lit pour un dieu en peine
La fin des voyages est immense
et toi qui commence à t’écrire
par-dessus mes vies enfouies
je te regarde
à travers mes larmes secrètes
Epouse le temps qui m’oppresse
que je puisse danser avec ce qui m’obsède
ce chant que je prends pour unique raison
cet horizon qui se tend à chaque mot
cette délivrance pour un peu de soi
cette part de nous à chaque moment
ce pas de deux comme oraison
cette fin en soi des sentiments
La liberté de tes engagements
est le plus beau de tes serments
Je te prends pour évidence
tandis que je pousse ma foi
sur le bitume de mes ignorances
Je vis à l’ombre de ces litanies
Alors
Quand tout viens à l’orée de nos désirs
Quand tu te tends ou quand je me rends
Quand tu te sens libre d’aimer à loisir
De partir pour un meilleur oubli
Alors
Viens vivre dans ce taudis
dans ce que je dis ou dans ce que je vis
sous mes soleils inappropriés
où tu trouveras la face cachée
de mes réalités obligées
Alors
Viens vivre ma vie
que j’épouse ta nuit
celle qui vient mourir
au bas de mon lit
Alors viens vivre
la supplication de mes heures partagées
que je puisse crier à travers toi
ce secret que tu ignores
ta beauté est l’emprunte du monde révélé
ne sont que des caresses
sur nos souvenirs à construire
Rien ne te vaut
sur l’autel
de nos vies à prendre
Les prémices sont les miroirs
de ce qui nous attend
Tout est déjà là
dans ce frémissement des impossibles
venus gémir avec nous
cette envie d’aimer
Ta solitude est la mienne
dans ce que tu devines de moi
Ta nudité est la mienne
devant l’immensité qui nous reste
Ta fragilité est la mienne
devant notre force inconnue
Ta découverte de soi est la mienne aussi
quand tu annonces ce que nous sommes
par ta seule présence
au cœur des choses
au cœur de toi
de ce qui nous manque et nous éclaire
Seule la douceur épargne l’amour qui passe
Aimer c’est inventer ce que je sais de mieux
La tendresse est le langage de ceux qui savent
Alors
Donne-moi la beauté de ceux qui s’aiment
L’apaisement royal d’un gueux qui règne
Le creux de ton lit pour un dieu en peine
La fin des voyages est immense
et toi qui commence à t’écrire
par-dessus mes vies enfouies
je te regarde
à travers mes larmes secrètes
Epouse le temps qui m’oppresse
que je puisse danser avec ce qui m’obsède
ce chant que je prends pour unique raison
cet horizon qui se tend à chaque mot
cette délivrance pour un peu de soi
cette part de nous à chaque moment
ce pas de deux comme oraison
cette fin en soi des sentiments
La liberté de tes engagements
est le plus beau de tes serments
Je te prends pour évidence
tandis que je pousse ma foi
sur le bitume de mes ignorances
Je vis à l’ombre de ces litanies
Alors
Quand tout viens à l’orée de nos désirs
Quand tu te tends ou quand je me rends
Quand tu te sens libre d’aimer à loisir
De partir pour un meilleur oubli
Alors
Viens vivre dans ce taudis
dans ce que je dis ou dans ce que je vis
sous mes soleils inappropriés
où tu trouveras la face cachée
de mes réalités obligées
Alors
Viens vivre ma vie
que j’épouse ta nuit
celle qui vient mourir
au bas de mon lit
Alors viens vivre
la supplication de mes heures partagées
que je puisse crier à travers toi
ce secret que tu ignores
ta beauté est l’emprunte du monde révélé
Paroles et chant: Walid STEFANESCO Musique:Virgine PEYRAL Enregistré SACEM
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