samedi 26 septembre 2009
Cette chaleur née de ce sentiment d'être, de ce pouvoir d'aimer, de cette capacité à comprendre l'autre, de ce désir que l'on attise, de ce regard porté sur l'indicible partagé, cette chaleur d'où nait l'amour, qui me fait homme de passage, tu la connais bien, toi que je rencontre à chaque instant de solitude.
dimanche 13 septembre 2009
Il nous faut travailler sur soi jusqu'à notre dernier souffle.
Nous avons hérités de nos parents, grands-parents, arrières grands-parents et plus loin encore, des comportements névrotiques, des souffrances ancrées, des cris ignorés, des souvenirs savamment oubliés, des rancœurs tenaces aux objets perdus, des blessures ouvertes et pourtant méconnues, des rires qui disent nos peines.
Il nous faut élaguer, il nous faut avancer dans la jungle de nos obstacles inconnus, il nous faut construire, il nous faut comprendre, il nous faut rêver, non pas à un ailleurs, mais à un ici et maintenant, où nous poser, pour commencer, vivre, et mourir.
Notre joie naitra dans tout cela, une percée annoncera le ciel, une chevelure qui se dénoue, ou la rencontre de notre humaine condition, dans nos regards qui se croisent.
Nous avons hérités de nos parents, grands-parents, arrières grands-parents et plus loin encore, des comportements névrotiques, des souffrances ancrées, des cris ignorés, des souvenirs savamment oubliés, des rancœurs tenaces aux objets perdus, des blessures ouvertes et pourtant méconnues, des rires qui disent nos peines.
Il nous faut élaguer, il nous faut avancer dans la jungle de nos obstacles inconnus, il nous faut construire, il nous faut comprendre, il nous faut rêver, non pas à un ailleurs, mais à un ici et maintenant, où nous poser, pour commencer, vivre, et mourir.
Notre joie naitra dans tout cela, une percée annoncera le ciel, une chevelure qui se dénoue, ou la rencontre de notre humaine condition, dans nos regards qui se croisent.
mardi 8 septembre 2009
samedi 5 septembre 2009
Retour après un séjour de méditation...
Dix jours de silence, de pratique intensive, de non-communication, dix jours où l'on n'est plus dans sa survie: manger plus qu'il n'en faut, s'adapter à l'autre, à soi, à sa vie...
Dix jours où l'on peut se dire oui, c'est possible d'avoir tout ce temps retrouvé, pour faire ce travail sur soi, ce dur labeur, le plus vrai qui soit, celui de la libération de ses entraves et de ses maux.
Peut être est-ce cela faire le point, non pas réfléchir mais s'installer, authentique et lucide, dans le moment présent, au delà du mensonge et de l'illusion, des besoins et des désirs, des faux semblants et des leurres, de tout sauf de soi et de l'essentiel: comment aimer, comment apprécier sa vie et celle des autres, tout ce qui arrive, toutes ces graines dans la main tendue au moineau, surtout ne pas bouger, comme le méditant, et attendre le moment magique, quand tout est simple et beau.
Dix jours de silence, de pratique intensive, de non-communication, dix jours où l'on n'est plus dans sa survie: manger plus qu'il n'en faut, s'adapter à l'autre, à soi, à sa vie...
Dix jours où l'on peut se dire oui, c'est possible d'avoir tout ce temps retrouvé, pour faire ce travail sur soi, ce dur labeur, le plus vrai qui soit, celui de la libération de ses entraves et de ses maux.
Peut être est-ce cela faire le point, non pas réfléchir mais s'installer, authentique et lucide, dans le moment présent, au delà du mensonge et de l'illusion, des besoins et des désirs, des faux semblants et des leurres, de tout sauf de soi et de l'essentiel: comment aimer, comment apprécier sa vie et celle des autres, tout ce qui arrive, toutes ces graines dans la main tendue au moineau, surtout ne pas bouger, comme le méditant, et attendre le moment magique, quand tout est simple et beau.
Paroles et chant: Walid STEFANESCO Musique:Virgine PEYRAL Enregistré SACEM
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Ce que je te dirais parlera du goût de tes larmes au sel magique du cri de tes peurs au fin fond de ton bonheur La confusion est le seul ...
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La solitude, c'est la main qui tient les joyaux de ta richesse intérieure. Que sais-je de tes luttes, de tes combats, de tes victoires...
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Chaque vers est la sortie de mes labyrinthes