La clé des choses, de notre accès au monde, est notre réconciliation avec nous même. Sans cela nous nous appartenons pas, ballotés au gré de nos incertitudes, de nos errances, de nos recherches sans fin, de nos aveuglements, rêvant de nous arrêter un jour de répit, de compréhension muette des évidences, de contemplation certaine de ce qui est.
Ce nouveau souffle aurait le même rythme que ce qui nous entoure et nous attendait, patiemment, aussi longtemps qu’une vie qui nous échappe, retrouvée au détour d’une respiration différente, celle qui unit en un seul goût nos attentes révolues.
mercredi 11 novembre 2009
vendredi 6 novembre 2009
Nous avons tous en nous ces jours que l’on ne vit pas, ce poids d’un quelque chose qui nous échappe. Nous prenons courageusement à bras le corps ces journées vides, désorientés par la recherche d’un sens qui nous fuit sans cesse. Quand ce poids sous-jacent s’allège, nous nous croyons joyeux et libérés au fond de nos médiocrités.
Les désespérés nous font du bien malgré nous, parce qu’ils nous rappellent ce qu’ils ne voient plus.
Les désespérés nous font du bien malgré nous, parce qu’ils nous rappellent ce qu’ils ne voient plus.
Paroles et chant: Walid STEFANESCO Musique:Virgine PEYRAL Enregistré SACEM
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Chaque vers est la sortie de mes labyrinthes